La justice ivoirienne aux ordres persiste et signe, encore en Appel ce mardi à Bouaké: Le vice-président du PDCI, Jacques Mangoua, reste condamné à cinq ans d’emprisonnement
La cour d’appel de Bouaké (centre ivoirien) a rejeté, mardi 28 janvier 2020, la demande de remise en liberté du vice-président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI) et président du conseil régional du Gbêkê, Jacques Mangoua, condamné début octobre à cinq ans de prison ferme pour “détention illégale de munitions d’armes de guerre’’.
Selon des témoins sur place, l’audience a débuté vers 10H00 GMT et s’est déroulée dans une salle bondée de monde, en l’absence de Jacques Mangoua, détenu à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan.
Après deux heures de débats, la Cour d’appel a confirmé le verdict prononcé en première instance : le vice-président du PDCI reste condamné à cinq ans d’emprisonnement, cinq ans de privation de ses droits civiques et cinq millions de francs CFA d’amende.
Avec Alerte info